Avec une consommation de 1,9 litres par personne et par an, on est loin des 60 litres de bière et des 20 litres de cachaça ! Mais le marché est en plein développement et le potentiel est énorme. Le vin rouge reste le vin préféré au Brésil.
Les signes de développement
- Les bars à vins commencent à faire leur apparition, ainsi que des rayons spécialisés dans les supermarchés.
- La consommation de vin n’est plus réservée qu’aux seules fêtes comme auparavant, même si le vin est plus souvent consommé à l’extérieur du domicile.
- Les brésiliens voyagent de plus en plus ce qui influent sur leurs goûts en vins
- Les produits de meilleure qualité ont le vent en poupe.
- Le vin est réputé meilleur pour la santé, et à ce titre, intéresse les brésiliens sensibles au marketing des produits nutritionnels.
Les obstacles
- Le vin est surtout importé, 75 millions de litres par an majoritairement chiliens et argentins, et les taxes augmentent considérablement les prix. Le vin français est à la 5ème place et s’adresse encore principalement aux amateurs à fort pouvoir d’achat.
- En termes de production locale, le vin brésilien est à la recherche de son identité : le vin national a une image médiocre, même si cela évolue.